Reconnaître cette substance comme perturbateur endocrinien, c’est proscrire son utilisation comme substituant au bisphénol A ou S dans plusieurs pays, notamment dans la fabrication de nombreux produits de consommation courante, en particulier en plastique. Les
vont engager une procédure dans ce sens. En effet, bien que non fabriquée ou utilisée en grande quantité aujourd’hui comme substance chimique en Europe, on la retrouve dans des échantillons biologiques de populations européennes. Comme le prévoit le règlement Reach, c’est aux entreprises d’évaluer la dangerosité des substances qu’elles utilisent et de proposer des conditions sécurisées d'usage. Si les risques ne peuvent être gérés, les autorités peuvent restreindre ou interdire les substances concernées