Àl’occasion de la 16
Journée mondiale, l’association
lance sa nouvelle campagne « J’ai du psoriasis et j’ose me découvrir » qui met en miroir les résultats de 2 études : l’une menée auprès des jeunes Français de 15-30 ans sur la perception de la maladie (seuls 61 % la connaissent), la seconde auprès de malades du même âge sur leur ressenti. Après explication du psoriasis aux sondés, les jeunes reconnaissent qu’il entraîne des réactions négatives dans des lieux publics, plage ou piscine (84 %), au travail (65 %) ou même de la part de la famille (26 %). Ainsi, la grande majorité (83 %) admet que les symptômes sont difficiles à assumer et qu’ils seraient eux-mêmes gênés de s’exposer s’ils étaient atteints ; 79 % déclarent qu’ils adapteraient leurs tenues vestimentaires pour cacher leur peau. Du côté des malades, 67,1 % reconnaissent souffrir du regard des autres. Ils sont également plus de 70 % à déclarer avoir déjà souffert de discrimination à la plage/piscine. Toutefois, ils sont moins nombreux que les sujets non atteints à déclarer adapter leurs vêtements (près de 65 % vs 79 %), mais 20 % disent avoir dû ralentir leurs activités sportives
Journée mondiale, l’association
lance sa nouvelle campagne « J’ai du psoriasis et j’ose me découvrir » qui met en miroir les résultats de 2 études : l’une menée auprès des jeunes Français de 15-30 ans sur la perception de la maladie (seuls 61 % la connaissent), la seconde auprès de malades du même âge sur leur ressenti. Après explication du psoriasis aux sondés, les jeunes reconnaissent qu’il entraîne des réactions négatives dans des lieux publics, plage ou piscine (84 %), au travail (65 %) ou même de la part de la famille (26 %). Ainsi, la grande majorité (83 %) admet que les symptômes sont difficiles à assumer et qu’ils seraient eux-mêmes gênés de s’exposer s’ils étaient atteints ; 79 % déclarent qu’ils adapteraient leurs tenues vestimentaires pour cacher leur peau. Du côté des malades, 67,1 % reconnaissent souffrir du regard des autres. Ils sont également plus de 70 % à déclarer avoir déjà souffert de discrimination à la plage/piscine. Toutefois, ils sont moins nombreux que les sujets non atteints à déclarer adapter leurs vêtements (près de 65 % vs 79 %), mais 20 % disent avoir dû ralentir leurs activités sportives