La Société française de colposcopie et de pathologie cervico-vaginale (
) se félicite des nouvelles recommandations de l’INCa qui indiquent le test HPV comme examen de référence du suivi post-conisation. Il a effectivement démontré sa très large supériorité sur le frottis dans cette situation. Un test négatif après traitement d’une lésion intra-épithéliale de haut grade du col en garantit le succès. Dans ce cas, seul un test HPV positif entraîne la réalisation d’une colposcopie à la recherche d’une récidive. Ce test se fait sur un prélèvement cervico-vaginal, exactement comme le frottis, 6 mois après le traitement. Ses meilleures performances allègent le suivi en augmentant l’intervalle entre 2 examens de surveillance qui ne doivent désormais être réalisés que tous les 3 ans. Mais la SFCPCV déplore « un dépistage organisé national qui tarde à se mettre en place malgré son annonce début 2019. »
) se félicite des nouvelles recommandations de l’INCa qui indiquent le test HPV comme examen de référence du suivi post-conisation. Il a effectivement démontré sa très large supériorité sur le frottis dans cette situation. Un test négatif après traitement d’une lésion intra-épithéliale de haut grade du col en garantit le succès. Dans ce cas, seul un test HPV positif entraîne la réalisation d’une colposcopie à la recherche d’une récidive. Ce test se fait sur un prélèvement cervico-vaginal, exactement comme le frottis, 6 mois après le traitement. Ses meilleures performances allègent le suivi en augmentant l’intervalle entre 2 examens de surveillance qui ne doivent désormais être réalisés que tous les 3 ans. Mais la SFCPCV déplore « un dépistage organisé national qui tarde à se mettre en place malgré son annonce début 2019. »