Nombre d’acteurs rapportent des fins de vie difficiles, notamment dans les Ehpad et à domicile pour des patients âgés et dépendants qui n’ont pas pu être hospitalisés. Dans les régions où le système de santé permet encore aux malades d’être traités et surveillés de façon habituelle à l’hôpital, la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs conseille aux équipes soignantes de se référer au protocole officiel de la HAS sur les pratiques sédatives. Pour les régions déjà saturées et celles qui risquent malheureusement de l’être prochainement, la SFAP met à disposition en ligne sur son site (www.sfap.org) 3 fiches pour assurer aux patients les plus sévèrement atteints un apaisement de leurs souffrances en cas de dyspnée ou de détresse respiratoire. CD

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