L’insomnie touche 10 % de la population française et se chronicise dans un tiers des cas.

Face à l’intensification de l’épidémie dans toute la France, la campagne de vaccination antigrippale est prolongée jusqu’au 29 février 2024. La validité des bons de prise en charge est donc prolongée d’autant.

Surélévation de la tête, épaississement des laits, probiotiques… En cas de reflux gastro-œsophagien chez le nourrisson, les approches non médicamenteuses sont indiquées en première intention. Mais parmi les différentes mesures proposées, lesquelles ont vraiment montré leur efficacité ?

Les nouveaux anticorps anti-amyloïdes sont prometteurs dans la maladie d’Alzheimer, mais la barrière hémato-encéphalique freine leur pénétration dans le cerveau, où se trouve leur cible thérapeutique (plaques amyloïdes).

La prise en charge de l’obésité est en plein bouleversement, avec une approche nouvelle intégrée dans les dernières recos de la HAS et l’arrivée de molécules efficaces. Comment appliquer ces recos en pratique en MG ?

Ces troubles sont fréquents chez les sujets âgés et en constante augmentation. Leur sous-diagnostic, important, limite leur prise en charge et son effet bénéfique : une plainte isolée n’est donc jamais à négliger.

Aujourd’hui, de plus en plus d’appareils sans brassard - utilisant des capteurs intégrés à des appareils portables comme les smartphones - sont disponibles sur le marché. S’ils semblent prometteurs, qu’en penser ? Quelle est leur performance ?

Cette dermatose inflammatoire fréquente est bénigne mais – mise à part la forme clinique spécifique du nourrisson – son évolution est chronique et récidivante. Formes cliniques, diagnostics différentiels et traitements dans cet article synthétique.

Les céphalées de l’enfant et de l’ado sont fréquentes et le plus souvent bénignes, mais elles imposent une imagerie cérébrale et/ou un avis spécialisé dans des cas bien précis.

Le groupement Épi-phare vient de publier les résultats d’une nouvelle étude de pharmaco-épidémiologie menée à l’échelle de l’ensemble de la population française, révélant des données plus précises sur les troubles menstruels liés aux vaccins à ARN.

Cet inhibiteur de JAK qui a fait ses preuves dans le traitement de la pelade sévère est désormais remboursable. Toutefois, le risque d’effets indésirables graves impose certaines précautions d’emploi.