La tendance à réduire le temps de sommeil nocturne, notamment pendant la semaine de travail, engendre une « épidémie » de dette de sommeil. Si, pendant longtemps, la somnolence consécutive à cette privation a été l’aspect le plus étudié – avec ses répercussions négatives sur la performance cognitive, la vigilance et l’accidentologie –, un nombre croissant de données montre qu’elle entraîne des déséquilibres dans l’homéostasie des systèmes neuroendocrinien, métabolique et immunitaire, avec des conséquences cliniques et de santé publique…
À lire ici : Faraut B, Pitron V. Épidémie de dette de sommeil. Rev Prat 2024 ;74(3) ;281.