Affectant 10 à 15 % des femmes en âge de procréer, avec une incidence atteignant 50 % chez les femmes infertiles, cette pathologie est définie par la présence de glandes ou de stroma endométrial en dehors de l’utérus. Les premiers symptômes apparaissent à l’adolescence et ont des répercussions importantes sur la qualité de vie, c’est pourquoi toute dysménorrhée sévère doit être explorée chez l’adolescente.

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