Les recommandations récentes tendent à limiter, voire à supprimer, la prescription d’aspirine à faible dose en prévention primaire cardiovasculaire chez les personnes à haut risque. Cependant, que faire chez les personnes déjà sous traitement ? Une étude parue dans Circulation répond à cette question.

Pendant de nombreuses années, l’aspirine à faible dose a été largement prescrite aux patients à risque CV en prévention primaire. Plus récemment, trois vastes essais ont montré que l’aspirine dans cette indication n’a pas d’effet positif sur la mortalité globale et qu’elle est associée à un sur-risque hémorragique (saignements digestifs mais aussi intracrâniens). D’où un changement dans les recommandations.

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