Sécheresse vaginale, brûlures vulvaires et douleurs génitales touchent de nombreuses femmes après la ménopause. Les dernières recos du CNGOF et du GEMVi ont fait le point sur l’efficacité et les risques des différents traitements disponibles en France, et sur la conduite à tenir chez les femmes ayant un antécédent de cancer du sein, traitées ou non par hormonothérapie.

Le syndrome génito-urinaire de la ménopause (SGUM) correspond à la nouvelle terminologie de l’atrophie vulvovaginale. Il comprend trois groupes de troubles, liés au vieillissement et à l’insuffisance œstrogénique : des symptômes vulvovaginaux : sécheresse (78 %), brûlures et irritation (30 %) ; des symptômes sexuels : dyspareunie (31 %) ; des signes urinaires : douleurs à la miction, infections à répétition (5 à 17 %), pollakiurie, nycturie, incontinence par urgenturie (15 à 35 % des femmes de plus de 60 ans). Un seul type de symptôme permet de poser le diagnostic.

Mesures hygiénodiététiques : indispensables

Traitements non hormonaux : en 1re intention

Traitements hormonaux locaux

Y a-t-il des risques associés à leur utilisation ?

Traitements oraux

Que prescrire en cas d’antécédents de cancer du sein ?

Encadre

Recos internationales de la prise en charge du SGUM après cancer du sein.

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