Entorse de la syndesmose
Kyste péricoronaire
Pas de trêve des confiseurs pour le Covid-19…
Nouvelle loi de bioéthique : encadrer des évolutions sociétales
Fibroses pulmonaires, quoi de neuf ?
Posologie de la prophylaxie par l’iodure de potassium

Évaluation d’un état dépressif postnatal (questionnaire EPDS)

Enfant drépanocytaire
Stéphanie Eyssette-Guerreau
La drépanocytose est une hémoglobinopathie qui conduit à une anémie hémolytique chronique et à des épisodes vaso-occlusifs. Transmise sur le mode autosomique récessif, c’est la maladie génétique la plus fréquente en France et dans le monde. Elle fait partie des affections de longue durée (liste des...
Dépression du post-partum

Différents acrosyndromes vasculaires

Signes cliniques imposant une consultation hospitalière en urgence chez l’enfant drépanocytaire

HTA chez le diabétique : cibles tensionnelles

Traitements antidépresseurs possibles chez la femme allaitante

Lipoblastome
Prophylaxie par iodure de potassium en situation d’accident nucléaire
Maâmar Souidi1, Caroline Crambes2, François Caire-Maurisier2, Marc Benderitter1
En l’absence de mesures de protection adaptées, l’exposition des populations aux iodes radioactifs peut être responsable de l’apparition de cancers de la thyroïde. En effet, une augmentation de l’incidence de cette pathologie a été observée chez des personnes qui étaient enfants et adolescents au...
Diagnostic clinique d’une artériopathie distale : la manœuvre d’Allen

Phénomène de Raynaud primitif ou secondaire

Acrosyndromes : algorithme diagnostique

Eczéma de contact dû au latex des préservatifs
Fissure anale
Hypertension artérielle et diabète
Nicolas Goin, Juliette Gueguen
La prévalence de l’hypertension artérielle (HTA) chez les patients diabétiques est supérieure à celle observée en population générale (75 % versus 35 %).
Le bon contrôle de la pression artérielle (PA) est un objectif essentiel chez ces patients. Il permet en effet d’améliorer leur survie globale, de...
Maniement des antalgiques lors d’une crise vaso-occlusive (COV)

Syndrome de Raynaud secondaire : deux principales causes professionnelles
