Le dépistage des dysthyroïdies est en hausse, mais elles sont probablement surdiagnostiquées. Les algorithmes de prise en charge sont maintenant bien codifiés, ce qui permet d’éviter les examens et traitements inutiles.

Sébastien, 45 ans, consulte pour une lésion exophytique irrégulière au niveau du bras droit, apparue il y a plusieurs années déjà, et s’étendant progressivement (figure).
Une biopsie est effectuée.

Un homme de 45 ans, diabétique, consulte aux urgences pour une douleur anale, pour laquelle il prend des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) depuis quatre jours. À l’examen, un érythème des deux fesses s’étend vers le scrotum (fig. 1).

Une femme de 65 ans consulte en service d’urgence pour une altération de l’état général évoluant depuis trois semaines, associée à une symptomatologie fonctionnelle digestive de type anorexie, nausées et diarrhées, avec une nette aggravation durant les derniers jours.

Une patiente de 13 ans consulte en urgence pour des lésions vésiculeuses évoluant depuis trois jours avec une sensation de picotements. Elle a contracté la varicelle à l’âge de 8 ans et n’a pas d’immunodépression connue.

Outre le suivi de grossesse et des premières années du bébé, les médecins traitants ont un rôle fondamental dans l’accompagnement à la parentalité. Mais comment l’aborder dans le temps contraint de la consultation ? Les conseils très pratiques des Drs Cardoso et Delarue.

Fatoumata, 23 ans, consulte pour une alopécie en clairière du cuir chevelu (figure), survenue à la suite d’un défrisage à froid par la soude, par « petites touches ».