La consommation de substances psychoactives (tabac, alcool et drogues illicites) fait partie des principaux déterminants de santé, avec un impact fort sur le développement de maladies et la mortalité.1 Le tabagisme est la première cause de mortalité évitable en France, avec 75 000 décès attribuables en 2015.2 La consommation d’alcool comporte de nombreux risques pour la santé, à court terme (accidents, violences, par exemple) comme à long terme (survenue de nombreuses maladies, mortalité attribuable estimée à 41 000 décès en 20153 - 5). Comparativement à celle du tabac et de l’alcool, la consommation de drogues illicites concerne une population plus restreinte, plus jeune, avec des risques identifiés essentiellement sur le court terme (accident, surdose, infection)6 même si des consommations précoces et répétées peuvent être déterminantes dans la survenue ultérieure d’usages problématiques, voire de troubles psychiatriques.7 Quant à la vape, ou e-cigarette, les risques liés à son usage sont encore mal connus.8
L’estimation du coût social, incluant notamment le coût dû à la perte de vies humaines et le coût pour les finances publiques, souligne la charge que représente l’usage de substances psychoactives en France. En effet, les dernières estimations portant sur l’année 2019 révèlent que les coûts sociaux cumulés pour le tabac, l’alcool et les drogues illicites s’élèvent à près de 266 milliards d’euros (dont 7 milliards pour les finances publiques)9. L’usage de tabac représente le coût total le plus élevé (156 milliards, dont 1,7 milliard pour les finances publiques), suivi de l’alcool (102 milliards, dont 3,3 milliards pour les finances publiques) et des drogues illicites (7,7 milliards, dont 2 milliards pour les finances publiques).9
Enquêtes transversales répétées
Décrire les consommations de substances psychoactives nécessite de recourir aux données de grandes enquêtes menées en population générale : le Baromètre de Santé publique France10 pour les adultes et l’enquête EnCLASS pour les mineurs scolarisés11 sont ici utilisés. Depuis plusieurs décennies, ces dispositifs d’enquêtes transversales représentatives répétées constituent les références pour mesurer les consommations de drogues (licites et illicites) en France.
Le Baromètre de Santé publique France est un dispositif d’enquêtes téléphoniques mis en place au début des années 1990 dans l’objectif de suivre les principaux comportements et attitudes liés à la santé de la population, comme appui à la conception et à l’évaluation d’actions de prévention. L’échantillon est constitué par génération aléatoire de numéros de téléphones fixes et mobiles. Sa taille varie d’une édition à l’autre (entre 3 000 et 30 000 individus interrogés), en fonction des objectifs de l’enquête une année donnée, mais permet systématiquement de fournir des estimations pour les principaux indicateurs relatifs aux usages de substances psychoactives en population générale adulte.
EnCLASS est une enquête anonyme qui repose sur un questionnaire auto-administré auprès d’adolescents scolarisés au collège et au lycée, âgés de 11 à 18 ans. La collecte 2022 a eu lieu dans 147 collèges et 90 lycées de France métropolitaine ; l’échantillon analysé comptait ainsi 9 337 élèves, dont 5 919 collégiens et 3 418 lycéens.
Tabagisme et vapotage
Inégalités sociales en matière de tabagisme chez les adultes
En 2022, 31,8 % des personnes âgées de 18 à 75 ans déclaraient fumer du tabac : 35,1 % des hommes et 28,8 % des femmes. La prévalence du tabagisme quotidien s’élevait à 24,5 % (27,4 % parmi les hommes et 21,7 % parmi les femmes)12.
Entre 2000 et 2016, la consommation quotidienne de tabac en population adulte est restée relativement stable, autour de 30 %. Puis, entre 2016 et 2019, une baisse d’ampleur inédite depuis le début des années 2000 a été observée, jusqu’à atteindre une prévalence du tabagisme quotidien de 24 %. Entre 2019 et 2022, celle-ci s’est stabilisée (fig. 1).
Les inégalités sociales en matière de tabagisme sont très marquées. En 2022, la prévalence du tabagisme quotidien variait de 16,8 % parmi les titulaires d’un diplôme supérieur au baccalauréat à 30,8 % parmi les personnes n’ayant aucun diplôme ou un diplôme inférieur au baccalauréat. Un écart de 12 points était observé entre les plus hauts (21,4 %) et les plus bas revenus (33,6 %), et de 16 points entre actifs occupés (26,1 %) et demandeurs d’emploi (42,3 %).
En 2022, 7,3 % des personnes âgées de 18 à 75 ans déclaraient utiliser une cigarette électronique, et la prévalence du vapotage quotidien s’élevait à 5,5 %. Ces chiffres suivent une tendance à la hausse depuis 2016 (respectivement 3,4 % et 2,5 %).
Quasiment tous les vapoteurs de 18 à 75 ans déclarent une expérience avec le tabac : 55,5 % étaient fumeurs, 43,7 % ex-fumeurs et seuls 0,9 % n’avaient jamais fumé (proportions observées en 2021 et stables depuis 2017).
Diminution du tabagisme chez les adolescents
L’expérimentation du tabac a nettement chuté chez les adolescents entre 2018 et 2022, passant de 21,2 % à 11,4 % chez les collégiens et de 53 % à 34 % chez les lycéens.
Le tabagisme quotidien a également considérablement diminué chez les adolescents sur cette période : il est passé de 2,6 % à 0,9 % chez les collégiens et de 17,5 % à 6,2 % chez les lycéens.
À l’inverse, l’usage de la cigarette électronique a connu une forte progression chez les adolescents : on comptait 20,2 % d’expérimentateurs parmi les collégiens en 2022. Pour la première fois, son usage devançait celui de la cigarette chez les collégiens. Alors que l’usage récent de la cigarette électronique (au cours des trente derniers jours) concernait un lycéen sur dix en 2015, il atteignait 24,2 % en 2022. Le vapotage quotidien a aussi sensiblement augmenté, passant de 2,8 % en 2018 à 3,8 % en 2022. En 2018, seulement 0,6 % des lycéens étaient vapoteurs quotidiens sans tabagisme quotidien ; cette prévalence est passée à 2,6 % en 2022.
Il n’existe pas de différence significative entre les garçons et les filles, ni dans la prévalence du tabagisme quotidien ni dans les prévalences d’usage de la cigarette électronique.
Consommation d’alcool
Plus élevée chez les hommes que chez les femmes à l’âge adulte
En France hexagonale en 2021, 94,9 % des adultes déclaraient avoir déjà consommé de l’alcool dans leur vie, proportion relativement stable au moins depuis le début des années 1990.13
En revanche, depuis plusieurs décennies, les consommations hebdomadaires et quotidiennes diminuent (fig. 2) :
- la part de consommateurs hebdomadaires était de 62,6 % en 2000 et atteignait 39 % en 2021 ;
- la proportion d’adultes consommant de l’alcool tous les jours était de 23,9 % en 1992 contre 8 % en 2021.
Plus récemment, entre 2017 et 2021 :
- la proportion d’adultes consommant chaque semaine était stable parmi l’ensemble des adultes mais en légère baisse pour les hommes : de 52,7 % à 50,5 % (stable à 28,1 % en 2021 pour les femmes) ;
- la baisse de la proportion de buveurs quotidiens a été aussi observée entre 2017 (10 %) et 2021 (8 %). Cette baisse est mise en évidence aussi bien chez les hommes (de 15,2 à 12,6 %) que chez les femmes (de 5,1 à 3,8 %).
Les indicateurs de fréquence des alcoolisations ponctuelles importantes (API), soit 6 verres ou plus en une même occasion, demeurent assez stables depuis 2005 (fig. 2). En revanche, la part de femmes déclarant avoir eu une API au moins une fois dans l’année ou une fois par mois est en légère hausse. À l’inverse, on observe une diminution de la fréquence des API parmi les jeunes hommes (18 à 24 ans). Les API restent néanmoins nettement plus fréquentes chez les hommes : en 2021, 24,9 % des hommes déclaraient avoir au moins une API par mois contre 8,6 % des femmes.
Quel que soit le mode de consommation d’alcool, celle-ci demeure globalement plus élevée chez les hommes que chez les femmes.
Enfin, la consommation moyenne d’alcool (fréquence et quantité bue) diffère fortement selon l’âge : les plus jeunes consomment moins souvent mais ingèrent des volumes de boissons alcoolisées plus importants que leurs aînés qui, eux, consomment plus souvent mais en moindre quantité.
Les inégalités sociales s’avèrent moins marquées concernant l’alcool que pour d’autres produits comme le tabac. Selon l’indicateur de consommation considéré, des gradients sociaux inverses peuvent même être observés. Ainsi, en 2021, le dépassement des repères de consommation d’alcool à moindre risque concernait tous les milieux sociaux, mais le fait d’avoir un revenu élevé (pour les hommes et les femmes) ou un diplôme du supérieur (uniquement pour les femmes) était associé à une consommation d’alcool au-dessus des repères.14
Adolescents : l’alcool est la substance psychoactive la plus souvent expérimentée
L’alcool reste la substance psychoactive la plus couramment expérimentée et consommée par les adolescents. En classe de sixième, 26,9 % des élèves déclarent avoir déjà consommé de l’alcool.
La consommation régulière d’alcool (au moins dix fois au cours des trente derniers jours) reste marginale au collège, mais elle est un peu plus élevée parmi les élèves de seconde et de première (4 %) et elle atteint 8,1 % parmi les élèves de terminale.
Au lycée, les garçons sont plus nombreux que les filles à avoir déjà consommé de l’alcool (69,9 % versus 66,7 %) et à en boire régulièrement (6,2 % vs 4,4 %).
À l’instar de l’évolution des niveaux d’usages au collège, la majorité de ceux au lycée ont connu une baisse entre 2018 et 2022, la consommation régulière d’alcool ayant été divisée par 3, passant de 16,7 % à 5,3 % durant cette période.
Drogues illicites
Le cannabis reste, malgré une tendance à la baisse observée ces dix dernières années, la drogue illicite la plus consommée en France, loin devant la cocaïne, l’héroïne et les drogues de synthèse (qui ne sont pas abordées ici).
Consommation surtout chez les hommes de 18 à 25 ans
Cannabis
En 2021, la moitié de la population adulte âgée de 18 à 64 ans déclarait avoir déjà consommé du cannabis au cours de sa vie et un adulte sur dix en avait consommé dans l’année. Les usages plus fréquents, qu’il s’agisse des usages réguliers (au moins dix fois au cours du mois) ou quotidiens, représentent une plus faible part de la population avec respectivement 3 % et 1,7 % des adultes concernés15. Selon le Cannabis Abuse Screening Test (CAST) mesuré en 2017, environ un quart des adultes ayant consommé du cannabis dans les douze derniers mois présentaient un risque élevé d’usage problématique (soit 3 % des personnes âgées de 18 à 64 ans).16 Alors que l’expérimentation de cannabis est peu marquée socialement, son usage régulier ou quotidien s’avère plus fréquent parmi les adultes peu ou non diplômés.17
La consommation de cannabis est particulièrement importante parmi les plus jeunes (23 % des personnes âgées de 18 à 25 ans en ont consommé dans l’année) et les hommes (deux à trois fois plus que les femmes). La différence selon l’âge et le sexe s’observe également pour les autres drogues illicites, avec des niveaux de consommation toutefois largement inférieurs à ceux observés pour le cannabis.
Autres drogues illicites
Même pour les stimulants comme la cocaïne ou la MDMA (ecstasy), drogues illicites les plus consommées après le cannabis, l’expérimentation parmi les adultes représentait en 2017 moins de 6 % et la consommation dans l’année moins de 2 %.16 Les augmentations récentes des passages aux urgences pour des intoxications à la cocaïne suggèrent toutefois une augmentation de sa consommation en population adulte.18
Cannabidiol
Le cannabidiol (CBD) est une molécule présente dans la plante cannabis ; sa consommation est autorisée en France contrairement à celle du tétrahydrocannabinol (THC), également présent dans la plante, qui est illégale. Sa consommation s’est rapidement répandue dans la population adulte. En 2022, les niveaux de consommation de CBD étaient similaires à ceux du cannabis, un adulte sur dix en ayant consommé dans l’année. Comme pour les drogues illicites, la consommation de CBD est plus fréquente chez les plus jeunes, qui par ailleurs ont davantage tendance à le fumer.19
Baisse de l’usage entre 2018 et 2022 chez les adolescents
Cannabis
En 2022, la diffusion du cannabis restait limitée chez les collégiens.11 Elle s’étendait lors du passage au lycée, avec toutefois des niveaux d’usages en forte baisse par rapport à 2018. L’usage régulier concernait 2,9 % des lycéens en 2022 comparativement à 6,2 % en 2018. Les garçons étaient plus consommateurs que les filles pour la plupart des indicateurs de fréquence d’usages.
Autres drogues illicites
En 2022, 6,6 % des lycéens avaient déjà expérimenté au moins une autre drogue illicite que le cannabis, une proportion moins importante qu’en 2018 (8,1 %). Cette même année, 8,1 % des lycéens déclaraient avoir déjà utilisé du poppers et 5,4 % du protoxyde d’azote, sans différence significative entre les garçons et les filles.
Niveaux de consommation élevés malgré des tendances à l’amélioration
Les consommations de tabac, d’alcool et de cannabis demeurent à des niveaux élevés en France : un quart des adultes fument quotidiennement, 17 % des adultes ont au moins une alcoolisation ponctuelle importante chaque mois et un adulte sur dix consomme du cannabis au moins une fois dans l’année, ce comportement étant moins fréquent parmi les femmes.
Néanmoins, des tendances, parfois anciennes, montrent des améliorations parmi les adultes et les adolescents.
Entre 2018 et 2022, l’ensemble des niveaux d’usages de substances psychoactives était en baisse parmi les mineurs, baisse accompagnée par un recul de l’âge des premières expérimentations. La seule exception concernait le vapotage, qui était en forte augmentation chez les adolescents, y compris chez les non-fumeurs, ce qui nécessite une vigilance particulière pour éviter qu’il ne devienne une porte d’entrée vers le tabac fumé.
Par ailleurs, des inégalités sociales étaient visibles dès le lycée puisque les consommations de substances étaient plus fréquentes parmi les jeunes en apprentissage ou sortis du système scolaire que parmi les jeunes du secondaire.20
La consommation de tabac parmi les adultes a diminué entre 2016 et 2019.
Depuis 2014, la lutte antitabac a été renforcée, avec la mise en place de plans nationaux de réduction du tabagisme. Les mesures réglementaires et de prévention mises en place, dont l’efficacité a été documentée dans la littérature, en particulier quand elles sont combinées, ont ainsi largement contribué à la baisse du tabagisme entre 2016 et 2019.21,22
Plus récemment, la crise sanitaire et sociale liée à la pandémie de Covid- 19 a pu avoir un impact sur la stabilisation de la prévalence du tabagisme ; une augmentation a été observée parmi certaines populations, correspondant à celles les plus touchées par la crise : les femmes et les personnes les moins diplômées.23
La baisse de la consommation d’alcool en population générale est cohérente avec la baisse des volumes d’alcool vendus en France depuis les années 1960, baisse largement due à la diminution de la consommation de vin parmi les nouvelles générations. Ce constat se fait notamment à travers les indicateurs reflétant des consommations régulières, qui comptent pour beaucoup dans la quantité totale d’alcool consommé. En trente ans, entre 1992 et 2021, la part d’adultes déclarant boire de l’alcool tous les jours a été divisée par trois (aussi bien parmi les hommes que parmi les femmes), probablement en raison d’évolutions culturelles au fil des générations, des habitudes de consommation et des mesures protectrices de la loi Évin de 1991. La consommation d’alcool, notamment sous forme d’alcoolisation ponctuelle importante, n’en reste pas moins très répandue.
En comparaison avec l’alcool et le tabac, les niveaux de consommation des drogues illicites restent bien inférieurs, y compris pour le cannabis, substance illicite la plus consommée.
Si des disparités régionales d’ampleur modeste s’observent dans l’Hexagone, un fait marquant est une moindre consommation de tabac, alcool et drogues illicites en outre-mer.13,24 Cependant, ces plus faibles niveaux de consommation à l’échelle globale ne doivent pas masquer l’existence de problèmes de santé publique majeurs liés aux substances psychoactives sur ces territoires.
Enfin, l’ensemble de ces estimations repose sur des données d’enquêtes déclaratives, et des biais de couverture, de mémoire ou encore de désirabilité sociale sont possibles. Néanmoins, l’hypothèse peut être faite que ces biais n’ont pas fortement évolué au fil des années.
Consommation de substances psychoactives toujours très répandue, avec un coût social considérable
Malgré ces tendances à la baisse pour plusieurs indicateurs, les consommations de substances psychoactives restent très répandues en France, et des évolutions moins favorables sont observées pour certains produits ou dans certaines populations. Ces consommations ont un coût social considérable.9
Des efforts en matière de prévention et d’accompagnement des consommateurs restent nécessaires sur l’ensemble des produits pour réduire l’impact de ces consommations sur la santé des Français. Les actions de repérage, de prise en charge et d’orientation des patients consommateurs par les médecins généralistes s’avèrent particulièrement pertinentes en complément d’autres stratégies de prévention éducatives ou réglementaires s’adressant à l’ensemble de la population.
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