Dermatophytie circinée
Donner une vraie place à la prévention en médecine générale !
Maladie rénale chronique : mise à jour des recos
On estime que 7 à 10 % de la population française a une atteinte rénale. Le dépistage reste insuffisant, la découverte se faisant parfois aux stades évolués de la maladie.

Algorithme décisionnel devant un purpura chez l’enfant


Récurrence herpétique orofaciale
Tinea incognita
Maladie de Coumel
Panaris syphilitique
Une antibiothérapie par pristinamycine, prescrite par un confrère, s’est révélée inefficace.
Kyste osseux essentiel
À l’examen, on objective une douleur périmalléolaire externe isolée et sans diffusion à l’arrière-pied.
Une entorse de cheville simple est alors évoquée.

Signes cutanés chez l’enfant : quand évoquer une possible maltraitance ?
Camille Bertho, Margaux Bourcy, Christine Léauté-Labrèze
Une situation de sévices à l’enfant doit être suspectée devant des lésions cutanées suspectes ou de localisations inhabituelles, un comportement craintif ou au contraire désinhibé de l’enfant, une méfiance de la famille, un retard de recours aux soins, une anamnèse discordante avec les signes...
Perturbateurs endocriniens : des effets aussi sur le système immunitaire ?
L’exposition de la population générale aux polluants, à bas bruit, peut-elle augmenter le risque de développer certaines pathologies, en fragilisant certains processus clés du système immunitaire ?
Score de sévérité du syndrome hémorragique (score de Buchanan)

Condylomes génitaux de l’enfant : une contamination sexuelle rare, mais à envisager


Geste chirurgical oral : quand arrêter les anticoagulants ?
Avant de réaliser un geste de chirurgie orale, que faire chez les patients sous traitement pouvant induire un risque hémorragique (anticoagulant, antiagrégant plaquettaire) ?
Covid chez la femme enceinte : quelle prise en charge en médecine générale ?
Prévention CV : la « polypill » a-t-elle fait ses preuves ?
Dossier progressif n°197
Exposition aux écrans des tout-petits : quels sont les risques ? ?
Efficacité des vaccins en France : l’analyse sur 22 millions de personnes
Parkinson : stimulation cérébrale profonde ou dopaminergique continue ?
Après une période de « lune de miel » où les agonistes dopaminergiques et/ou la lévodopa ont de bons résultats, des complications apparaissent chez plus de 50 % des parkinsoniens (fluctuations, dyskinésies), justifiant le recours à des traitements de seconde ligne :