Si les experts s’accordent sur l’intérêt d’administrer une 3e dose de vaccin, au moins 6 mois après la primovaccination complète, chez les personnes âgées et à risque de forme grave (ce qui est en ligne avec les recommandations actuelles de la HAS), sa généralisation à toute la population – promue par Pfizer et Israël – ne fait pas consensus. Analyse de cette controverse à la lumière des dernières données.

 

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