Vieux, donc inutile ?
Imagerie de la pancréatite chronique
Toutes les obésités ne nécessitent pas la même prise en charge
Savoir ensuite la classifier permet de prescrire les examens complémentaires et d’adapter la prise en charge.
Le tableau présente les...
États généraux de la bioéthique 2018 : penser le monde de demain
De l’internat des hôpitaux aux ECN et autres réformes…
Éducation thérapeutique du sujet âgé
François Puisieux
Gériatrie. Contrairement à l’idée reçue que les sujets âgés ne seraient pas capables de changer leur comportement de santé, de nombreuses données suggèrent que beaucoup souhaitent être acteurs de leur prise en charge et en tirent bénéfice.
Prévention, imagerie et traitement de la tuberculose
Une dyspepsie résistante aux traitements
Place de l’hospitalisation dans la prise en charge en addictologie
Anne-Kristelle Trebalag*, Chloé Lucet**, Nathalie Danon*, Raphaël Gourevitch**
La prise en charge des addictions, avec ou sans produit, s’inscrit dans un cadre de soins au long cours. L’objectif est l’arrêt du comportement addictif avec interruption de l’intoxication et maintien de l’abstinence par la prévention des rechutes à long terme. La phase de sevrage ne représente qu...
Schéma d’organisation du projet d’accueil individualisé pour allergie alimentaire

Gastro-entérites et vomissements de l’enfant
– diarrhée : selles plus molles/liquides ou plus fréquentes (> 3 par 24 h) ;
– parfois accompagnée de fièvre ou vomissements ;
– durant en général moins de 7 jours, jamais plus de 2 semaines.
À ne pas évoquer en 1re intention en cas de diarrhée chronique ou vomissements isolés, fébriles ou...
Érythème acral
Greffe de cornée
Sténose de l’urètre masculin
L’anorexie, terrible compagne de vie
journaliste et animateur du site
Si fragile…
Pseudochromidrose
Arthrose digitale
Dermatoses et envenimations marines
Jean-Jacques Morand
Urticaire, prurit, infections, piqûres, suppurations…
Applis santé en diabétologie
Protection solaire : le point
Dermatose plantaire juvénile
Facteurs de risque d’infarctus cérébral homolatéral*
– 3 % chez les hommes et 2 % chez les femmes ;
– augmente avec l’âge : après 80 ans, 10 % et 6 % respectivement ;
– et s’il existe une autre localisation de l’athérosclérose : 12 à 38 % en cas d’artériopathie des membres inférieurs, 4 à 13 % si coronaropathie.
Marqueur de la maladie...
Un lent naufrage ?
Journalisme et santé publique