Construire un protocole pour lutter contre la constipation en établissement de santé

La médecine s’est longtemps concentrée sur la prise en charge des maladies et de leurs causes. Ensuite, le contrôle des symptômes a pris une place croissante, d’abord dans les maladies graves (soins de support), puis dans d’autres pathologies. Une littérature abondante est ainsi consacrée au traitement de la douleur. Mais d’autres…

Mauvais contrôle de l’HTA

La majorité des maladies chroniques sont concernées par la problématique de la mauvaise observance ou « l’inobservance » du traitement. Il s’agit d’un enjeu de santé publique majeur touchant à la fois les patients (escalade thérapeutique inutile, augmentation de la morbidité et la mortalité) et la collectivité (surcoûts,…

Onychomycoses en pratique clinique

Les onychomycoses sont des infections fongiques de l’appareil unguéal provoquées par des dermatophytes dans 60 à 70 % des cas, plus rarement des moisissures (20 %) ou des levures (10 à 20 %). Leur prévalence en Europe est estimée entre 0,5 et 24 % selon l’origine de l’infection. Il s’agit donc d’un motif fréquent…

Prise en charge des dysthyroïdies

Le dépistage des dysthyroïdies est en hausse, mais elles sont probablement surdiagnostiquées. Les algorithmes de prise en charge sont maintenant bien codifiés, ce qui permet d’éviter les examens et traitements inutiles. Les indices cliniques et les antécédents du patient tendent à révéler les causes et orientent le diagnostic.

Covid long de l’enfant

Depuis le début de la pandémie (novembre 2019), les enfants infectés par le SARS-CoV-2 sont majoritairement asymptomatiques ou ont des symptômes modérés. Comparativement aux adultes, ils sont moins à risque de développer des formes sévères de Covid et donc d’être hospitalisés.1 Cependant, dans un certain nombre de cas, les enfants…

Reflux gastro-œsophagien du nourrisson : physiologique ou pathologique ?

Le reflux gastro-œsophagien (RGO) du nourrisson est fréquent et le plus souvent physiologique. Les premières mesures de prise en charge sont non médicamenteuses. Il ne faut toutefois pas écarter trop rapidement un RGO pathologique, dont les signes sont rarement spécifiques, et qui peut nécessiter des examens complémentaires.