Infarctus de la femme : des gènes et facteurs de risque identifiés

La dissection spontanée de l’artère coronaire est impliquée dans environ un tiers des infarctus de femmes de moins de 50 ans, sans facteur de risque connu. Une étude de l’Inserm a permis d’éclairer les causes de cette pathologie quasi-exclusivement féminine.

Dermatoscopie en MG : pourquoi ? comment ?

Les délais pour obtenir un rendez-vous dermatologique étant de plus en plus longs, cette pratique se développe en médecine générale. Le dermoscope – outil simple et non invasif – permet d’identifier plus sûrement les lésions, en particulier cancéreuses – pour apprécier s’il faut rassurer le patient ou solliciter un…

Tics et Gilles de la Tourette : quand traiter et comment ?

Les tics et surtout la maladie de Gilles de la Tourette (tics multiples et chroniques) sont plus fréquents qu’on ne le pense (l’enchaînement de gros mots n’est pas un critère diagnostique !) et souvent accompagnés de troubles psychiatriques de sévérité très variable. Évolution, comorbidités, approches…

Fièvre hémorragique de Crimée-Congo : faut-il s’inquiéter ?

L’Anses vient d’alerter sur le risque d’émergence de cette zoonose en France. L’extension de sa distribution géographique, liée surtout au réchauffement climatique, et la présence avérée d’infections humaines en Espagne incitent en effet à la vigilance, alors que son principal vecteur est déjà présent en France (tiques du genre…

Covid grave, révélateur d’un cancer ? 

Si le lien entre un cancer et le risque de faire une forme grave de Covid est amplement établi, une hospitalisation pour Covid est-elle associée à un diagnostic ultérieur de cancer ? Selon une étude menée par Épi-Phare et publiée dans Nature, un Covid sévère pourrait être un marqueur de certains types de tumeurs…

L’IA capable de prédire le risque de cancer du pancréas

Le cancer du pancréas est souvent découvert à un stade trop tardif, les symptômes étant peu spécifiques. Des chercheurs ont développé un programme de « deep learning » pour détecter les patients à haut risque jusqu’à trois ans avant le diagnostic. Leurs résultats sont parus dans Nature Medicine.