Split hand sign dans la maladie de Charcot

Un homme de 68 ans est reçu en consultation pour une altération de l’état général évoluant depuis deux ans, avec un amaigrissement évalué à 15 kg. Il est traité par antiparkinsoniens depuis quelques mois. Le diagnostic de maladie de Parkinson avait été évoqué face à un tremblement fin d’attitude des deux mains. Son fils décrit…
Souffrance incisive

Le syndrome de Lasthénie de Ferjol

Sabine, 57 ans, aide-soignante depuis plus de trente ans, nous consulte en l’absence de son médecin traitant. Elle demande à être hospitalisée du fait d’une anémie récidivante (hémoglobine [Hb] à 8,1 g/100 mL ; volume globulaire moyen [VGM] à 73 µm3 ; concentration corpusculaire moyenne en…
Une évolution centrifuge…

Dermatophytie de la peau glabre (série peau noire/peau blanche)

Lola, 8 ans, et Fabienne, 45 ans, consultent pour des plaques arrondies, prurigineuses, d’évolution centrifuge, avec une bordure papuleuse et squameuse (figures). Cette éruption évolue depuis plusieurs mois. Leur interrogatoire révèle qu’elles vivent avec plusieurs animaux de compagnie.
Une maladie sexuellement transmissible ?

Variole du singe

Deux patients hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) ont consulté pour des lésions génitales inhabituelles. Un patient de 28 ans, séropositif pour le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) à charge virale indétectable, avec 500 lymphocytes CD4/mm3, sous bithérapie antirétrovirale (Juluca), pratiquant le…
Un intense besoin de s’hydrater

Dermatite atopique (série peau noire/peau blanche)

Paul, 32 ans, et Lionel, 25 ans, consultent pour une éruption diffuse et mal limitée, vésiculeuse et croûteuse, plus marquée sur les zones de flexion, associée à un prurit important (figures). Cette atteinte évolue par poussées depuis l’enfance. Leurs antécédents font état d’allergies et d’asthme.
Une desquamation étendue

Psoriasis vulgaire (série peau noire/peau blanche)

Jean, 60 ans, et Ludovic, 37 ans, consultent pour une dermatose érythématosquameuse couvrant plus de 30 % de leur tégument (figures). Peu prurigineuses, les lésions évoluent depuis plus de six mois. Dermocorticoïdes et soins émollients sont restés inefficaces.