La crise du Levothyrox

Le mépris des faits (comment réécrire l’histoire Levothyrox…)

La crise du LevothyroxL’éditorial d’Alain Tenaillon et Jean Deleuze « Levothyrox : un cas d’école du mépris de la parole des malades » (Rev Prat 2019;69:583) et l’article de Catherine Hill et Martin Schlumberger « Les deux formules du Levothyrox ne sont pas bioéquivalentes » (Rev Prat 2019;69:599-601) parus en juin dans La Revue…

Reconstruction mammaire après mastectomie : aspects actuels

La reconstruction mammaire permet d’améliorer la qualité de vie des patientes grâce à une restauration du schéma corporel et de la confiance en soi. Selon l’INCa, elle fait partie intégrante du traitement du cancer du sein et doit être proposée après une mastectomie de première intention ou de rattrapage.

Syndromes hyperéosinophiliques

Devant une hyperéosinophilie sanguine, la démarche du clinicien est double : évaluer son retentissement sur les organes, et déterminer sa cause ; mais 50 % des syndromes hyperéosinophiliques restent d’origine indéterminée.
La crise du Levothyrox

Réponse aux auteurs de la réaction « Un cas d’école de méprise éditoriale »

La crise du LevothyroxL’éditorial d’Alain Tenaillon et Jean Deleuze « Levothyrox : un cas d’école du mépris de la parole des malades » (Rev Prat 2019;69:583) et l’article de Catherine Hill et Martin Schlumberger « Les deux formules du Levothyrox ne sont pas bioéquivalentes » (Rev Prat 2019;69:599-601) parus en juin dans La Revue…
La crise du Levothyrox

Un cas d’école de « méprise » éditoriale

La crise du LevothyroxL’éditorial d’Alain Tenaillon et Jean Deleuze « Levothyrox : un cas d’école du mépris de la parole des malades » (Rev Prat 2019;69:583) et l’article de Catherine Hill et Martin Schlumberger « Les deux formules du Levothyrox ne sont pas bioéquivalentes » (Rev Prat 2019;69:599-601) parus en juin dans La Revue…

Prévention secondaire après infarctus cérébral

  Risque de récidive : 5 % par an ; – très élevé au cours des premières semaines suivant l’événement, surtout si l’infarctus était lié à une sténose athéroscléreuse. AIT, meilleur signe avant-coureur : – risque d’infarctus cérébral (IC) majeur dans les heures et jours qui suivent (jusqu’à 5 % à 7…