Pathologies motrices œsophagiennes : quand traiter par endoscopie ?

FOCUSLes troubles moteurs œsophagiens, actuellement définis par la manométrie haute résolution (3e révision de la classification de Chicago),1 incluent principalement : les défauts de contraction de l’œsophage et du sphincter inférieur de l’œsophage (SIO), extrêmement fréquents et classiquement associés au RGO ; les anomalies…

Neurolyme : comment faire le diagnostic ?

De nombreuses manifestations neurologiques périphériques ou centrales ont été décrites au cours de la maladie de Lyme. Elles sont habituellement classées en fonction de leur délai d’apparition par rapport à la piqûre de tique : précoces (survenant dans les semaines suivant la morsure) ou tardives (après 6 mois). Elles sont la…

Embolie pulmonaire : traitement hospitalier ou ambulatoire ?

La maladie veineuse thrombo- embolique (MVTE) est fréquente (1,83 cas pour 1 000 habitants par an)1 et potentiellement grave. Incidence de l’embolie pulmonaire (EP) : 0,6 cas sur 1 000 habitants par an1. Le risque de récidive est d’environ 30 % dans les 10 ans qui suivent un premier épisode mais varie selon des facteurs…

Filière fracture : optimiser la prise en charge de l’ostéoporose fracturaire

L’ostéoporose a été définie comme priorité nationale dans le plan « Ma santé 2022 ». En dépit des connaissances sur cette maladie et d’un arsenal thérapeutique bien fourni et efficace, sa prise en charge est loin d’être suffisante. C’est pourquoi de nouvelles organisations, appelées filières fractures (Fracture Liaison…

Hypercalcémie : doser la PTH

Calcium extracellulaire régulé dans une fourchette étroite (calcium ionisé : 1,14-1,31 mmol/L). Trois niveaux de contrôle :– récepteur du calcium : exprimé au niveau des glandes parathyroïdes et du rein, permet de réguler la sécrétion de parathormone (en la diminuant en cas d’élévation de…

Infections urinaires gravidiques : quels traitements ?

Les infections urinaires (IU) sont plus fréquentes chez les femmes enceintes que chez les jeunes en dehors de la grossesse, en raison des particularités anatomiques (compression des uretères par l’utérus, reflux vésico- urétéral), hormonales (diminution du péristaltisme urétéral, augmentation de la capacité vésicale), biochimiques …