Conséquences anormales des accidents médicaux non fautifs : jurisprudence du Conseil d’État

L’indemnisation des accidents médicaux sans faute des professionnels ou des éta­blissements est prévue par l’article L.1142-1 du code de la santé publique créé par la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des ma­lades et à la qualité du système de santé. Il indique les conditions d’imputabilité, de critères cliniques et de…

Le rôle des vétérinaires à l’interface entre l’homme et l’animal, en France et dans le monde

La profession vétérinaire joue un rôle sociétal important à l’interface entre l’homme et le monde animal, notamment en matière sanitaire, du fait des domaines très divers dans lesquels agit cette profes­sion, de la diversité du monde animal concerné, et des intérêts économiques et sociaux pour l’homme de sa relation avec l’animal…

Impact du numérique dans la relation de soins

L’intrusion des technologies de l’information et de la communication dans la pratique de la médecine a généré plusieurs impacts qui donnent lieu à des réflexions juridiques et éthiques dont les premières applications sont analysées à travers le déploiement de la télémédecine, télémédecine dont la pratique répond à un caractère…

Biopsie liquide : alternative ou complément à la biopsie tissulaire ?

La biopsie liquide est définie comme le prélèvement d’un échantillon de sang ou d’un autre liquide biologique suivi de l’analyse des cellules anormales circulantes, des microvésicules (exosomes) libérées par ces cellules ou les tissus et des acides nucléiques libres circulants (ADN, ARN messager, micro- ARN). Elle permet d’effectuer…

Toxine botulique A et douleurs neuropathiques

La toxine botulique de type A est une neurotoxine puissante, largement utilisée pour le traitement des hyperactivités musculaires telles que la dystonie et la spasticité. Plusieurs essais cliniques randomisés contrôlés contre placebo ont fait état de son efficacité par voie sous-cutanée dans les douleurs neuropathiques périphériques…

Télémédecine : une solution d’avenir pour l’insuffisance cardiaque ?

L’insuffisance cardiaque, malgré les progrès thérapeutiques considérables, reste une maladie fréquente, grave et coûteuse, notamment en raison des réhospitalisations très fréquentes et sévères (5 à 10 % de mortalité). La télémédecine (pratique médicale à distance), grâce aux avancées majeures des technologies de l’information…