Diagnostic et prise en charge de l’infection foetale à CMV

La détection de l’ADN viral du cytomégalo­virus (CMV) par PCR dans le liquide am­niotique, réalisée à partir de la 17e semaine d’aménorrhée et au moins 8 semaines après l’infection maternelle, est la seule méthode permettant le diagnostic de certitude de l’in­fection du foetus qui excrète alors le virus dans ses urines. Lorsqu…

Dissection aortique : l’endovasculaire remplacera-t-il la chirurgie ouverte ?

La place de l’interventionnel dans la dis­section aortique se pose du fait que cette affection est une catastrophe en matière de morbi-mortalité (rupture), que la survie est liée à la prise en charge chirurgicale précoce de l’aorte ascendante, et que, dans les types A opérés et les types B, le pronostic semble dépendre de l’absence…

Devenir et prise en charge du nouveau-né infecté par le CMV

Les critères de Fowler sont les plus utilisés pour définir le caractère asymptomatique des infections congénitales à cytomégalovirus (CMV). Parmi les formes symptomatiques à la naissance, les séquelles neurosensorielles sont par ordre de fréquence : les troubles de l’audition par dysfonctionnement cochléaire au niveau de l’oreille…

Atteintes neuro-sensorielles de l’infection congénitale à CMV

L’infection congénitale par le cytomégalo­virus (CMV) est la deuxième cause de retard mental et de surdité neurosensorielle après les causes génétiques. Les cibles pré­férentielles du virus au sein de l’oreille in­terne sont les cellules de la strie vasculaire, de la membrane de Reissner et des cellules sombres du labyrinthe ; ces…

Un réseau de prise en charge des dissections aortiques

Les urgences aortiques sont de trois types : les syndromes aortiques aigus, les ané­vrismes compliqués ou symptomatiques, et la rupture traumatique de l’aorte. Les syndromes aortiques aigus peuvent corres­pondre à une dissection classique, à un hé­matome intradural ou à un ulcère pénétrant (de nature athéromateuse). La rapidité de…

Innovations en  chirurgie vasculaire :  comment les endoprothèses  ont bouleversé  le traitement des  anévrismes aortiques

L'anévrisme de l’aorte abdominale est une pathologie redoutable. Sans intervention, l’anévrisme augmente de volume et finit par se rompre, avec une issue fatale dans la majorité des cas. La mise à platgreffe chirurgicale fut le traitement de choix pendant plusieurs années ; mais, depuis une quinzaine d’années, le traitement…