Risques d’hyponatrémie sévère chez les enfants perfusés  par des solutés  hypotoniques

 Les solutés de perfusion sont fréquemment utilisés chez les enfants hospitalisés. L’administration de solutés hypotoniques par voie intraveineuse a longtemps constitué la référence en pédiatrie. L’explication se trouve probablement dans l’empirisme des recommandations initiales qui ont prôné l’utilisation préférentielle de solutés…

Risques d’hyponatrémie sévère chez les enfants perfusés par des solutés hypotoniques

Les solutés de perfusion sont fréquem­ment utilisés chez les enfants hospitali­sés. L’administration de solutés hypoto­niques par voie intraveineuse a longtemps constitué la référence en pédiatrie. L’ex­plication se trouve probablement dans l’empirisme des recommandations ini­tiales qui ont prôné l’utilisation préférentielle de…

Mobilité corporelle et capacités d’inhibition de l’enfant de 7 ans né prématuré

À 6-7 ans, le début des apprentissages fondamentaux conditionne les capacités des enfants à suivre une scolarité normale. Les enfants prématurés (50 000/an en France) auraient plus de difficultés d’attention, à cet âge, en lecture et mathématiques car ils auraient une moindre résistance à la distraction que les enfants nés à terme,…

Syndrome du bébé secoué

Ce syndrome, qui atteint surtout le nourrisson âgé de moins de 8 mois, est la principale cause de mortalité et de morbidité en cas de maltraitance du jeune enfant. Le mécanisme causal est un secouement violent, souvent répété dans le temps. Les tableaux cliniques sont variés, aigus ou froids. Le diagnostic repose sur des arguments…

Données récentes  sur la physiopathologie  et les approches  thérapeutiques des  lymphomes T cutanés  épidermotropes

Les lymphomes T cutanés représentent un groupe hétérogène de lymphomes rares débutant et prédominant au niveau de la peau. Les plus fréquents sont le mycosis fongoïde et le syndrome de Sézary. Il n’existe malheureusement pas actuellement de traitement curatif de ces lymphomes T cutanés épidermotropes aux stades avancés chez lesquels…

Syndrome allergique pollen-fruit : rôle des protéines régulées par la gibbérelline

En France, 20 à 25 % de la population gé­nérale souffrent d’une maladie aller­gique. De 20 à 70 % correspondent à un syndrome associé pollen-aliment, majori­tairement dû aux grains de pollen d’arbres et de plantes anémophiles. Les symptômes se manifestent par une atteinte des mu­queuses nasale et orale (3 %), cutanées, gastro…