La ballerine avait une épine

Une fillette de 12 ans consulte pour une tuméfaction inflammatoire et douloureuse, située 4 centimètres sous la tubérosité tibiale antérieure gauche. Pas de traumatisme récent ni d’effraction cutanée visible en regard. Elle pratique la danse classique. Le bilan biologique est normal. La radio montre une image lacunaire du tiers…

Agonistes des récepteurs du GLP-1 : quoi de neuf ?

Ces molécules sont apparues il y a plus de 15 ans dans l’arsenal thérapeutique du diabète de type 2, pour le contrôle des glycémies. Quatre sont commercialisées, uniquement sous forme injectable sous-cutanée. L’exénatide à action immédiate (Byetta 5 et 10 µg) nécessite 2 administrations quotidiennes et 1 injection hebdomadaire pour…

Vitiligo, où en est le traitement ?

Hypopigmentation acquise de la peau et/ou des muqueuses par perte sélective des mélanocytes : macules blanches arrondies bien limitées et non prurigineuses. Prévalence mondiale : estimée à 0,5 % ; environ la moitié des cas surviennent avant l’âge de 20 ans, et près de 70 % avant 30…

Plus de 4 heures en érection : danger !

Mis à jour le 8 juillet 2024 Urgence urologique définie comme la persistance involontaire d’une érection partielle ou complète de plus de 4 heures, après l’orgasme et l’arrêt ou en dehors de toute stimulation sexuelle.1 Le terme « priapisme » vient du dieu Priape, fils de Dionysos et d’Aphrodite, né petit avec un large pénis en…

Prévenir le suicide des jeunes avec les missions locales

Le suicide est la seconde cause de mortalité des adolescents et des jeunes adultes en Europe. En France, son taux est de 4,1/100 000 dans la tranche d’âge 15-19 ans.1 Les troubles dépressifs sont particulièrement fréquents chez ces sujets. Leur prévalence est de 49 à 64 % chez ceux qui font une tentative.Les facteurs de risque…

Traitement des cancers : quelle place pour les chélateurs de fer ?

Le fer est un facteur de croissance des cellules tumorales, d’où deux questions : les chélateurs du fer ont-ils une place pour traiter les cancers et la supplémentation en fer des patients cancéreux anémiés pourrait-elle avoir un rôle aggravant ?