Vaccins : pas d’association entre dose d’aluminium et maladies chroniques

L’aluminium est utilisé comme adjuvant dans les vaccins non vivants administrés durant la petite enfance. Depuis des années, des inquiétudes subsistent quant à un possible lien entre l’exposition cumulative à l’aluminium via la vaccination et un risque accru d’auto-immunité, d’allergies ou de troubles du neurodéveloppement. Les…

Marcher prévient la lombalgie chronique

La lombalgie chronique est la première cause d’invalidité avant 45 ans et la troisième cause tous âges confondus en France. Si les guidelines préconisent de rester physiquement actif, il n’existe pas de recommandation explicite concernant l’activité physique en prévention primaire.Des médecins norvégiens et danois ont…

Canal carpien : la chirurgie d’emblée est plus efficace que les infiltrations

Particulièrement fréquent après 45 ans, le syndrome du canal carpien aurait une prévalence de 0,6 à 5,8  %. En France, environ 125 000 personnes en sont opérées chaque année. Avant d’en arriver à cette option, la Haute Autorité de santé recommande d’utiliser les orthèses à porter de nuit pendant les poussées de…

Maladie de Parkinson et terrain de golf

Une récente étude américaine publiée dans JAMA Network Open a évalué le lien entre le fait d’habiter près d’un golf et le risque de développer une maladie de Parkinson. Cette étude cas-témoins se fonde sur l’analyse de données médicales de patients du Rochester Epidemiology Project aux États-Unis, de 1991 à 2015, avec 419 …

Prévention par inhibiteurs du récepteur P2Y12 après angioplastie

Après une angioplastie, les recommandations préconisent une période de double antiagrégation plaquettaire (DAPT) associant l’aspirine et un inhibiteur du récepteur P2Y12 (clopidogrel, prasugrel ou ticagrélor). La suite de la prévention secondaire est moins bien codifiée.Une équipe internationale de cardiologues a mené une méta…

Lien entre virus d’Epstein-Barr et de nombreux cancers

Affichant une séroprévalence de plus de 90  % chez les adultes, le virus d’Epstein-Barr (EBV) reste latent et asymptomatique toute la vie pour la majorité de la population, après une primo-infection le plus souvent infantile et asymptomatique – mais qui peut aussi se manifester par une mononucléose. Toutefois, le virus…