Comparaison entre tests salivaires et nasopharyngés

Cette méta-analyse a comporté 16 études, avec un total de 5 922 patients inclus. Parmi elles, 15 comprenaient au moins en partie des patients vus en ambulatoire, dont 9 n’avaient que ce type de patients, avec des symptômes modérés ou absents. L’objectif était de comparer la sensibilité et la spécificité des PCR recherchant le SARS…

Statines : les effets indésirables musculaires sont-ils si fréquents ?

Cet essai randomisé a été mené au Royaume-Uni, avec des inclusions entre 2016 et 2018. Les 151 patients (âge moyen 69 ans, 58 % d’hommes), qui avaient arrêté ou envisageaient d’arrêter un traitement par statine en raison d’effets indésirables musculaires, ont été randomisés pour réaliser 6 séquences de 2 mois où ils recevaient…

Quel risque d’AVC après un AIT ?

À partir des données de la Framingham Heart Study (1948-2017), les auteurs ont évalué le risque de survenue d’un accident vasculaire cérébral (AVC) après un accident ischémique transitoire (AIT). Ils ont identifié 14 059 sujets sans antécédents d’AVC ni d’AIT à l’inclusion, chez qui l’incidence d’AIT a été de 1,19 pour 100 000…

Ablation précoce dans la fibrillation atriale

Dans cet essai, 303 patients (âge moyen 58 ans) atteints de fibrillation atriale paroxystique récente (médiane de 1 an avec au moins 1 épisode symptomatique), ont été implantés d’un moniteur ECG (de type REVEAL-link, permettant de détecter tous les épisodes de fibrillation) et randomisés pour bénéficier d’une cryoablation, ou d’un…

Acétate de cyprotérone et risque de méningiome

Entre 2007 et 2015, à partir des données du Système national des données de santé (SNDS) une étude de cohorte française a été menée sur la population des femmes âgées de 7 à 70 ans sans antécédent de méningiome ou d’autre tumeur bénigne cérébrale. Deux groupes ont été constitués : femmes exposées (ayant reçu une dose…

Estradiol en patch dans les cancers de la prostate

Les traitements oraux à base d’estrogènes ne sont pas utilisés dans l’hormono-thérapie des cancers de la prostate du fait du risque thromboembolique qu’ils engendrent. En évitant le premier passage hépatique, l’administration du traitement par patch cutané pourrait permettre d’éviter ces effets indésirables. Les auteurs ont ici…