Tuberculose pulmonaire : le dépistage cadré par la HAS
Classification de Binet : classification pronostique européenne des leucémies lymphoïdes chroniques

Contraception après un événement vasculaire
La première pilule contraceptive œstroprogestative a été mise sur le marché en 1960 sous le nom d’Enovid (mestranol-noréthynodrel). Très rapidement après sa commercialisation, les premiers événements thromboemboliques veineux puis artériels ont été décrits chez les utilisatrices. Depuis, la...
Contraception d’urgence
En empêchant la survenue de grossesses imprévues et non désirées, la contraception d’urgence permet de réduire la nécessité du recours à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) à la suite d’un rapport sexuel non ou mal protégé.
Ses indications sont larges : rapport non protégé, accident de...
Contraception et acné
L’acné est un problème fréquent chez les adolescents. Sa prévalence est de 75 à 95 % chez les 11 à 19 ans. Mais elle concerne aussi les adultes, avec une prévalence de 12 % chez les 25 à 58 ans. Ses répercussions sont parfois importantes.1
Prévenir l’allo-immunisation anti-RH1 au premier trimestre de la grossesse ne doit plus être systématique !
Le risque théorique d’allo-immunisation au premier trimestre de la grossesse est difficile à évaluer. L’immunisation anti-RH1 (anti-D) survient lorsque le système immunitaire maternel entre en contact avec l’antigène RH1 porté par les hématies fœtales passées dans la circulation maternelle. L...
Chaire Vulca, transdisciplinarité au service des patients
Neurofibromatose de type 1 : des avancées récentes
Actualités dans la néphroprotection
Principes de la médecine intégrative, utilité et risques des interventions non médicamenteuses et des thérapies complémentaires
Connaître les principes d’action, l’utilité et les risques des principales thérapies complémentaires
Infarctus du myocarde : des spécificités féminines
Le CBD, toxique pour la reproduction humaine ?
Lombalgie aiguë ou chronique : quels traitements ont fait leurs preuves ?
Gestion des saignements sous contraception hormonale
Les saignements au cours de l’utilisation d’une contraception hormonale représentent un motif fréquent d’arrêt, exposant les femmes à un risque de grossesse non désirée.1,2 Ces troubles sont dépendants du type de contraception utilisée (contraception hormonale combinée ou progestatifs seuls) et de...
Contraception et thrombophilies constitutionnelles
Le risque de thrombose veineuse est l’effet délétère le plus fréquent lors de l’utilisation d’une contraception hormonale œstroprogestative. Ce risque est-il plus important chez les femmes porteuses d’une thrombophilie ?
Le terme thrombophilie sous-tend deux aspects différents à prendre en compte ...
Contraception en situations particulières : les 10 messages clés
- Trouver une ou des solutions contraceptives efficaces et sûres pour chaque femme ou jeune fille est toujours possible ! Le médecin a un rôle essentiel pour aider chaque femme à choisir la contraception la plus adaptée à sa situation.
- Mener un interrogatoire minutieux, à la recherche d’éventuelles...
Rôles des dispositifs d’appui à la coordination
Aspects toxicologiques de la soumission chimique
Leucémie lymphoïde chronique
Hernie d’Amyand
Les paramètres vitaux sont les suivants : température à 37,1 °C, pression artérielle à 135/68 mmHg, fréquence cardiaque à 95 batt/min. À l’examen clinique, elle présente un vomissement fécaloïde très abondant motivant la pose immédiate d’une sonde nasogastrique en aspiration douce. L’abdomen est dépressible mais sensible dans son ensemble sans douleur élective à la palpation, avec un météorisme abdominal et un tympanisme à la percussion ; les bruits hydroaériques sont conservés et le toucher rectal retrouve des selles molles, sans rectorragie.
Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire marqué, avec une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles (PNN) [leucocytes : 22,80 G/L ; PNN : 20,60 G/L] mais une protéine C-réactive (PCR) normale à 9 mg/L, une hyperkaliémie modérée à 5 mmol/L sans signe à l’électrocardiogramme et des lactates artériels à 2,5 mmol/L. La lipasémie est normale et il n’y a pas de cytolyse hépatique ni de cholestase.
Devant ce tableau fortement évocateur d’un syndrome occlusif, le scanner abdominopelvien injecté par produit de contraste iodé met en évidence un syndrome occlusif grêlique sur un iléus réflexe dû à une appendicite aiguë incarcérée dans une hernie inguinale droite directe, avec distension et stase liquidienne de toutes les anses grêles en amont et de l’estomac, sans signe de souffrance pariétale digestive (fig. 1 et 2).
La patiente bénéficie d’une appendicectomie et d’une cure de hernie inguinale droite par laparotomie, suivie d’une bi-antibiothérapie probabiliste par ceftriaxone 1 g et métronidazole 500 mg, trois fois par jour. L’évolution clinique est favorable.
Tatouages : un risque de cancer ?
Contraception et pathologies neurologiques
Parmi les pathologies neurologiques touchant la femme en âge de procréer, l’épilepsie et la sclérose en plaques méritent une attention particulière en consultation de gynécologie. La planification de la grossesse est souvent nécessaire, notamment du fait de l’utilisation de traitements tératogènes....