Les traumatismes crâniens légers liés à une pratique sportive sont fréquents, notamment chez les enfants et jeunes adultes, avec des conséquences aiguës et chroniques potentiellement graves (maladies neurodégénératives, SLA…).

La HAS renforce encore les mesures face à la recrudescence particulièrement marquée des infections invasives à méningocoques en ce début d’année.

L’ANSM continue de recevoir des signalements de surdosages en méthotrexate. Elle alerte sur leurs conséquences, qui peuvent être très graves, et rappelle les mesures pour les prévenir.

Si le rôle du microbiote dans la réponse immune est connu, l’intérêt de la prise de probiotiques en prévention des infections respiratoires n’est pas démontré.

Infection bactérienne fréquente, surtout chez la femme, la pyélonéphrite aiguë nécessite une prise en charge appropriée et rapide. Comment poser le diagnostic ? Quels signes de gravité ? Quel traitement initier d’emblée, selon les patients ? Un suivi est-il nécessaire ?

Le signalement de cas d’effets indésirables et d’interactions médicamenteuses parfois graves chez des personnes consommant des produits à base de cannabidiol ont conduit l’ANSM à lancer une alerte. Quels sont les médicaments les plus concernés ? Quels symptômes doivent alerter ?

L’or a longtemps été considéré comme un métal peu allergisant, mais est-ce vraiment le cas ? Quelles sont les réactions provoquées par les parfums (synthétiques ou de source naturelle) ? Quid des huiles essentielles, de plus en plus incluses dans les cosmétiques ?

Jusqu’à un quart des généralistes disent vouloir quitter la médecine pour une profession non soignante. En cause : un épuisement professionnel croissant.

Les nouvelles recommandations de prise en charge des PAC de la Spilf et la SPFL sont enfin parues !

La kératose actinique est la lésion pré-cancéreuse cutanée la plus fréquente, associée à un risque de transformation en carcinome épidermoïde. La vaccination classique contre les papillomavirus pourrait-elle être une stratégie thérapeutique pour prévenir et traiter ces lésions ?

Maladie dermatologique fréquente et gênante, la rosacée a des conséquences psychologiques parfois importantes. Ses manifestations cliniques sont polymorphes. L’évolution est chronique, avec un risque d’atteintes sévères.

Si une alimentation suffisante et diversifiée suffit le plus souvent à atteindre les apports recommandés en micronutriments, dans certaines situations une supplémentation est utile voire indispensable. Que disent les études aujourd’hui ? On fait le point.

La Société de colposcopie et de pathologie cervico-vaginale (SFCPCV) et le Collège national des gynécologues et obstétriciens (CNGOF) ont actualisé les recommandations concernant le dépistage du cancer du col de l’utérus. Qu’est-ce qui change ?

Le risque tératogène des thiopurines et des anti-TNF montré dans des études animales n’est pas étayé chez l’humain, mais ces études ont été menées dans des cohortes de moins de 1 000 naissances. Des données françaises sur 40 000 naissances sont rassurantes.

Médias, livres et séries ont contribué à populariser la notion de « HPI », avec un certain nombre de fausses idées. Les demandes d’évaluation ont fortement augmenté.

Traiter le partenaire d’une femme atteinte de vaginose bactérienne est utile pour diminuer le taux de récidives, selon une étude randomisée australienne qui vient d’être publiée dans le NEJM. Ce résultat est en faveur de la reclassification des vaginoses bactériennes en tant qu’IST. 

Les cas de rougeole augmentent au niveau mondial depuis 2023, avec une recrudescence récemment observée tant au niveau européen qu’en France, mais aussi outre-Atlantique. Dans ce contexte, la DGS rappelle la conduite à tenir en prévention et devant un cas suspect.

Dans le sillage de recommandations de 2024 sur le diagnostic et la prise en charge de ce trouble neurodéveloppemental – qui donnaient une place centrale aux médecins généralistes –, la HAS vient de publier des fiches à destination des parents pour une meilleure information et un accompagne

Comment consommer moins de viande pour limiter l’empreinte carbone de son assiette tout en apportant l’ensemble des nutriments à son organisme ? Une nouvelle étude française parue dans les Cahiers de nutrition et de diététique de la Société française de nutrition répond à cette question.