Monsieur M., 67 ans, vous consulte avec sa femme pour la progression de douleurs de plus en plus invalidantes du membre inférieur gauche.
Ce patient est marié et vit avec elle dans une maison de plain-pied. Il est actuellement retraité, ancien fonctionnaire de police.
Il vous dit avoir peu d’antécédents médicaux-chirurgicaux : une hernie inguinale opérée et une hypertension artérielle que son médecin traitant considère comme bien équilibrée sous Cardensiel. Après quelques efforts de remémoration, il vous rapporte une fracture du tibia droit dans l’enfance dont sa mère lui avait parlé, probablement aux alentours de 3 ans et non opérée.
Il pèse 82 kg pour 1,75 m.
Monsieur M. vous rapporte une plainte au niveau de sa hanche gauche. Initialement ses douleurs étaient simplement à type de gêne, apparues il y a deux ans, sans traumatisme évident à l’anamnèse. Actuellement ces douleurs peuvent le maintenir alité les mauvais jours. Au réveil, il doit patienter quelques minutes assis avant de se lever, avec nécessité de se « dérouiller » avant de pouvoir « s’activer ». Parlant justement du sommeil, sa femme vous dit que cette douleur le réveille souvent lorsqu’il se retourne dans le lit. Il sort de moins en moins, ne peut plus jardiner et est devenu dépendant de son épouse pour les trajets, la conduite lui étant devenue impossible. Vous estimez son périmètre de marche à quelques centaines de mètres, les douleurs apparaissant très rapidement à la marche.
Lorsqu’il sort, il doit s’aider d’une canne que son frère, opéré il y a peu, lui a donnée. Celle-ci le soulage partiellement.
Il vous explique enfin que tout ceci est probablement dû à ses problèmes de dos qui le gênent depuis plusieurs années : un ami lui aurait parlé de bascule du bassin dû à sa colonne vertébrale et dit qu’un ostéopathe pourrait lui apporter la solution qui le calmerait.
Ce patient est marié et vit avec elle dans une maison de plain-pied. Il est actuellement retraité, ancien fonctionnaire de police.
Il vous dit avoir peu d’antécédents médicaux-chirurgicaux : une hernie inguinale opérée et une hypertension artérielle que son médecin traitant considère comme bien équilibrée sous Cardensiel. Après quelques efforts de remémoration, il vous rapporte une fracture du tibia droit dans l’enfance dont sa mère lui avait parlé, probablement aux alentours de 3 ans et non opérée.
Il pèse 82 kg pour 1,75 m.
Monsieur M. vous rapporte une plainte au niveau de sa hanche gauche. Initialement ses douleurs étaient simplement à type de gêne, apparues il y a deux ans, sans traumatisme évident à l’anamnèse. Actuellement ces douleurs peuvent le maintenir alité les mauvais jours. Au réveil, il doit patienter quelques minutes assis avant de se lever, avec nécessité de se « dérouiller » avant de pouvoir « s’activer ». Parlant justement du sommeil, sa femme vous dit que cette douleur le réveille souvent lorsqu’il se retourne dans le lit. Il sort de moins en moins, ne peut plus jardiner et est devenu dépendant de son épouse pour les trajets, la conduite lui étant devenue impossible. Vous estimez son périmètre de marche à quelques centaines de mètres, les douleurs apparaissant très rapidement à la marche.
Lorsqu’il sort, il doit s’aider d’une canne que son frère, opéré il y a peu, lui a donnée. Celle-ci le soulage partiellement.
Il vous explique enfin que tout ceci est probablement dû à ses problèmes de dos qui le gênent depuis plusieurs années : un ami lui aurait parlé de bascule du bassin dû à sa colonne vertébrale et dit qu’un ostéopathe pourrait lui apporter la solution qui le calmerait.
Question 1: Les éléments suivants concernant la douleur vous orientent vers une pathologie mécanique plutôt qu’inflammatoire :
Un dérouillage de pathologie inflammatoire peut nécessiter trente minutes, voire plus.