Les messages universels de prévention ne fonctionnent pas !
La CPAM, une amie qui vous veut du bien... (1/2)
La lecture de ce titre a – je pense – engendré chez 100 % des lecteurs l’image du smiley « petit diable machiavélique », suivi du smiley qui lève les yeux au ciel, suivi du smiley qui soupire… J’ai souvent entendu mon père dire qu’à chaque fois qu’il voyait son médecin, celui-ci se plaignait de la...
Mastoïdite
Endométriose du périnée
Pityriasis rosé de Gibert
Une éruption cutanée est constatée par l’infirmier. Il est alors orienté vers le médecin avant toute réalisation de vaccin.
Ce patient n’a ni allergie ni antécédent personnel particulier. Il ne prend aucun traitement. Sur le plan familial, on relève une maladie de Crohn chez son père ainsi qu’un psoriasis chez son frère. Il a récemment effectué un voyage au Japon durant lequel il allègue une exposition sexuelle à risque.
Cliniquement, une éruption maculo-papuleuse centimétrique est mise en évidence au niveau des deux membres inférieurs. Elle évolue depuis un mois, et est apparue à la suite d’un exercice de six jours dans un camp militaire en Moselle. Sa progression a été ascendante, de manière symétrique, jusqu’au torse. Les lésions, non prurigineuses, sont légèrement squameuses. Aucun épisode infectieux n’a précédé l’éruption. Le patient est apyrétique et ne montre ni manifestation extracutanée, ni perte de poids, ni atteinte muqueuse ou adénopathie.
Une précédente consultation avait abouti à un traitement par kétoconazole gel en récipient unidose, sans amélioration de la symptomatologie.
Compte tenu du tableau clinique, des éléments anamnestiques (exposition sexuelle à risque) et des antécédents familiaux (maladie de Crohn et psoriasis), le bilan biologique suivant est prescrit : hémogramme, ionogramme, urée, créatininémie, CRP, bilan hépatique, TSH, électrophorèse des protéines sériques, antigène p24, sérologies hépatites A, B, C, E, VIH 1 et 2, EBV, CMV, parvovirus B19, toxoplasmose, syphilis.2 Celui-ci ne met en évidence aucun syndrome inflammatoire biologique, de séropositivité VIH ou de séroconversion récente à EBV, syphilis ou hépatite virale. Le diagnostic de pityriasis rosé de Gibert3 est posé.
Être non diplômé, c’est mourir plus jeune !
Selon un récent rapport de l’Insee, les chiffres sur la mortalité entre 2020 et 2022 indiquaient que les hommes cadres vivent 5,3 ans de plus en moyenne que les ouvriers à partir de 35 ans ; cet écart est moins élevé chez les femmes mais reste édifiant : 3,4 ans.1 Plus saisissant encore, l’écart d...
Dermatosis papulosa nigra
Modalités du dépistage du cancer colorectal en fonction des facteurs de risque
Avec 47 582 nouveaux cas en 2023 en France, le cancer colorectal (CCR) est le troisième cancer le plus incident chez l’homme et le deuxième chez la femme. Il est la deuxième cause de mortalité par cancer en France, soit 17 117 décès en 2018. Son incidence diminue de 0,5 % par an depuis 2010 chez les...
Examen clinique du pied douloureux
Une anamnèse bien conduite et un examen systématique simplifié du pied permettent généralement de classer les douleurs de pied selon leur localisation (postérieure, moyenne et antérieure) et leur origine (mécanique ou non), orientant ainsi vers un diagnostic (tableau) et guidant le choix des examens...
Pityriasis rosé de Gibert
Proposition d’approche thérapeutique des cellulites dentaires

Endométriose du périnée
Porome eccrine
Bonnes pratiques de prescription des antibiotiques en odontologie et en stomatologie


Pityriasis rosé de Gibert


Dermatosis papulosa nigra

Principales infections banales et retentissement éventuel sur la patiente, la grossesse ou le fœtus
