Pic monoclonal à l’électrophorèse : quand réaliser une imagerie osseuse ?
Exercez-vous aux ECN avec les dossiers progressifs et les LCA de La Revue du Praticien
Exercez-vous aux ECN avec les dossiers progressifs et les LCA de La Revue du Praticien
• s’il existe des douleurs osseuses, notamment rachidiennes, non calmées par le repos et les antalgiques de palier 1 ;
• en cas de pic IgG ou IgA de grande taille.
Il permet de rechercher les lésions lytiques évocatrices d’un myélome symptomatique.
En dehors de l’existence de douleurs osseuses, un pic IgM, quel qu’en soit le taux, ne nécessite pas d’imagerie osseuse. En revanche, la réalisation d’une étude échographique ou tomodensitométrique des aires ganglionnaires et splénique peut se discuter si le patient est symptomatique.
D’après : Vincent L, Roussel M, Macro M, et al. Pic monoclonal à l’électrophorèse. Rev Prat Med Gen 2025;39(1093);37-40.