Une littérature scientifique de plus en plus fournie, incluant études rétrospectives d’envergure et analyses par neuro-imagerie, met en lumière la dangerosité du jeu de tête au football, et notamment un risque accru de maladies neurodégénératives, indépendamment des commotions cérébrales.

Sans engrais de synthèse, sans biocide chimique, sans OGM, sans arôme synthétique, sans exhausteur de goût… Le bio a un cahier des charges contraignant, mais cela permet-il aux consommateurs d’être en meilleure santé ?

La fièvre est le deuxième motif de consultation au retour de voyage, après les troubles digestifs et avant les affections dermatologiques. Quelles sont les principales pathologies à évoquer, notamment après un séjour en zone tropicale ?

Une récente étude américaine publiée dans JAMA Neurology¹ a évalué le lien entre le fait d’habiter près d’un golf et le risque de développer une maladie de Parkinson. Les résultats sont édifiants.

Une étude de cohorte prospective norvégienne a étudié l’association entre volume et intensité de la marche quotidienne et le risque de lombalgie chronique. Les résultats sont parus dans le JAMA Network.

L’engouement pour les animaux autres que le chien et le chat est en hausse aussi bien au domicile (reptiles, amphibiens, petits rongeurs...) que dans des lieux publics (fermes pédagogiques, mini-fermes, zoos...).

L’augmentation, depuis quelques années, de l’incidence de cette maladie en Europe ainsi qu’une extension géographique des zones endémiques fait craindre une diffusion plus large en France. C’est pourquoi l’Anses a émis des recos pour réduire le risque de transmission.

La caféine est le psychotrope le plus consommé au monde. Ses effets sur la mortalité et sur le risque de certaines pathologies ont fait l’objet de plusieurs études. Que révèlent les données les plus récentes ?

L’été rime avec baignades… mais qu’il s’agisse de mer, d’eau douce ou de piscine, ces plaisirs aquatiques peuvent causer une multitude de dermatoses, d’origine infectieuse ou non. Tour d’horizon dans cette fiche illustrée.

Qu’ils soient achetés dans le commerce ou « faits maison », les produits cosmétiques ne sont pas dénués d’effets indésirables, alerte l’Anses. Quels sont les risques et comment les réduire ?

Le mythe de la fontaine de Jouvence semble avoir la dent dure : depuis leur découverte il y a 20 ans, les « zones bleues » représentent pour certains un nouvel espoir de plonger dans le grand bleu de la vie éternelle.

Avec la montée en popularité des sites touristiques en haute montagne, les pathologies aiguës liées à l’altitude concernent un nombre croissant de personnes.

Une vaste étude portant sur les dossiers médicaux de 400 000 personnes révèle un lien surprenant : des marqueurs de déshydratation, comme une natrémie située à la limite haute de la normale, seraient associés à un risque accru d’HTA à long terme. Décryptage…

« An apple a day keeps the doctor away » : ce proverbe anglais du XIX^e siècle pourrait être justifié par la présence de nombreux flavonoïdes dans les pommes… mais que dit la science ?

L’été, les méduses envahissent de plus en plus de plages. On estime qu’environ 150 millions de personnes sont victimes de leurs piqûres chaque année. Outre la toxicité de leur venin, certaines espèces peuvent aussi entraîner des réactions allergiques.

Pratiquer un sport par des températures supérieures à 30 °C expose à un risque d’hyperthermie – ou « coup de chaleur d’exercice » –, dont les conséquences peuvent être graves.

Devenues méconnues en raison de leur relative rareté en France, les parasitoses intestinales sont loin d’avoir disparu. Si certaines sont importées (immigrés ou voyageurs ayant séjourné en zones tropicales), d’autres, cosmopolites, peuvent s’acquérir dans nos régions.

Plusieurs approches thérapeutiques sont disponibles aujourd’hui dans la maladie variqueuse : règles hygiénodiététiques, traitements médicaux (compression veineuse, veinotonique…) et interventionnels.