Vous recevez à votre consultation un patient âgé de 60 ans. Il dit venir pour une consultation classique de renouvellement de correction optique avec un dépistage de « maladie de la rétine ». Ce patient est sans antécédents notables hormis une dyslipidémie sous statine/régime ainsi qu’un asthme qu’il a toujours traité par bêta-2 mimétique à la demande.
Le patient ne relate pas d’antécédent traumatique, d’inflammation oculaire ou de prise de corticoïde.
L’acuité visuelle est à 10/10 P2 P2 œil droit et œil gauche avec correction.
La tension oculaire mesurée à l’aide du tonomètre à air pulsé est à 25 mmHg à droite et 26 mmHg à gauche.
La réfraction obtenue à l’aide du refractomètre automatique donne :
– œil droit : -2,00 (de -1,00 à 75°) ;
– œil gauche : -2,00 (de -1,15 à 90°).
Le patient ne relate pas d’antécédent traumatique, d’inflammation oculaire ou de prise de corticoïde.
L’acuité visuelle est à 10/10 P2 P2 œil droit et œil gauche avec correction.
La tension oculaire mesurée à l’aide du tonomètre à air pulsé est à 25 mmHg à droite et 26 mmHg à gauche.
La réfraction obtenue à l’aide du refractomètre automatique donne :
– œil droit : -2,00 (de -1,00 à 75°) ;
– œil gauche : -2,00 (de -1,15 à 90°).
Question 1 - Quelles affirmations sont vraies ?
Le « -2,00 » correspond à un verre concave de 2 dioptries pour une vision nette : myopie.
Celle-ci est utilisée notamment aux urgences en cas de suspicion d’un glaucome aigu mais cette méthode n’est pas précise.
On parle d’hypertonie oculaire pour une pression intraoculaire supérieure à 22 mmHg.
C’est l’échelle de Monoyer. De 1/10 à 10/10.
La vision de près normale correspond à P2.
Question classique de sémiologie oculaire.